Dépensez $125.00 pour obtenir la livraison gratuite

De Jonathan Bret

What If Your Gut Was the Key to Your Performance?

Et si votre ventre décidait de votre performance ?

Respiration, digestion et performance : le lien que personne n’explique — mais que tout athlète devrait comprendre.

Quand on pense performance qu’elle soit sportive ou intellectuelle on pense muscles, VO₂ max, récupération…
Mais une pièce maîtresse du puzzle est souvent négligée : votre ventre.
Et plus encore : votre souffle.

Respiration et digestion forment un duo insoupçonné. Et c’est souvent ce lien discret entre votre diaphragme, votre nerf vague et votre oxygénation qui fait toute la différence dans votre énergie, votre concentration et vos résultats.


1. Respiration & digestion : un système intégré

Chaque inspiration profonde mobilise le diaphragme ce muscle clé de la respirationqui agit comme un véritable masseur viscéral.
Il stimule la circulation sanguine, active les organes digestifs et favorise l’absorption des nutriments.

À l’inverse, un ventre tendu, ballonné ou en inflammation entrave la descente du diaphragme, limitant le volume respiratoire et générant une respiration plus haute, plus stressée.

Ce lien bidirectionnel est si fort qu’on parle du système digestif comme d’un deuxième cerveau — il communique en permanence avec le système nerveux central via le nerf vague, que la respiration influence directement.

Une respiration fluide, nasale, diaphragmatique, devient donc bien plus qu’un acte mécanique : c’est un levier de régulation autonome, de digestion et de performance interne.


2. Le souffle comme activateur du mode “repos & digestion”

Notre système nerveux autonome alterne deux états :

  • Sympathique : combat, fuite, effort, vigilance.

  • Parasympathique : repos, digestion, récupération.

Ce dernier est piloté… par le nerf vague.

Or, chaque expiration lente, nasale et profonde active ce nerf. Le cœur ralentit, le tonus digestif augmente, les sécrétions intestinales s’optimisent.
En d’autres termes : vous digérez mieux, vous récupérez mieux.

La littérature scientifique le confirme. Une étude de 2022 (Frontiers in Neuroscience) a montré qu’un programme de respiration lente (6 respirations/minute) améliore significativement les troubles digestifs chez des patients atteints du SII, en augmentant l’activité vagale.

En pratique, une technique simple comme la respiration 4-7-8 (inspiration 4s, apnée 7s, expiration 8s) suffit à enclencher ces effets.


3. Mieux respirer, c’est mieux oxygéner — mais pas en respirant plus

Respirer trop vite, ou par la bouche, est souvent contre-productif.
Pourquoi ? Parce que cela diminue le CO₂ dans le sang or c’est le CO₂ qui déclenche la libération d’oxygène vers les cellules (effet Bohr).

Résultat : vous ventilez plus, mais vos tissus reçoivent moins d’oxygène.
C’est ce qu’on appelle l’hypoxie silencieuse.

À l’inverse, la respiration nasale :

  • ralentit naturellement le rythme,

  • maintient une meilleure tolérance au CO₂,

  • favorise la production d’oxyde nitrique dans les sinus — un puissant vasodilatateur qui améliore l’oxygénation pulmonaire (Kim et al., 2011).

Une étude publiée dans l’European Respiratory Journal a montré que la respiration nasale augmente de 10 à 20 % l’oxygénation sanguine comparée à la respiration buccale.


4. Ce que disent les chiffres : 90 % des athlètes respirent mal

Une étude japonaise sur 1 933 athlètes (2022) a révélé que 90,6 % respiraient de manière dysfonctionnelle :
→ respiration thoracique haute,
→ diaphragme peu actif,
→ tendance à l’hyperventilation.

Ces déséquilibres entraînent :

  • oxygénation musculaire réduite,

  • digestion lente,

  • fatigue prématurée,

  • récupération altérée.

Et pourtant, corriger la respiration est simple, accessible, et sans charge d’entraînement supplémentaire.
Encore faut-il créer les bonnes conditions pour qu’elle s’installe durablement…


5. Le rôle des produits BREEV

Passer à une respiration nasale continue — de jour comme de nuit — demande un petit coup de pouce.
C’est exactement pour cela que les outils BREEV ont été développés.

BREEV Nasal Strips

Nos bandelettes nasales, ultra-discrètes et conçues pour la performance, facilitent le flux d’air par le nez.
→ À l’effort : elles réduisent la résistance nasale, améliorent l’oxygénation et réduisent la fréquence respiratoire.
→ Au quotidien : elles encouragent une respiration plus stable et plus calme.

BREEV Mouth Tape

Notre bande buccale, à la fois confortable et respirante, vous aide à maintenir une respiration nasale pendant le sommeil.
→ Moins de réveils. Moins de sécheresse buccale.
→ Une digestion nocturne plus fluide, un sommeil plus profond.
→ Une récupération augmentée — validée par des études (NIH, 2022).

Ces outils ne sont pas des gadgets.
Ce sont des accélérateurs de transition vers un schéma respiratoire plus naturel, plus efficace et plus compatible avec vos objectifs de performance.


6. Conseils d’application

Voici comment intégrer ce que vous venez de lire dans votre routine :

  • Adoptez la respiration nasale à l’effort : diminuez légèrement l’intensité au début si nécessaire, utilisez les strips pour maintenir l’ouverture nasale même sous transpiration.

  • Ancrez la respiration nasale la nuit : avec le mouth tape, sans gêne ni danger, pour automatiser ce schéma.

  • Pratiquez la respiration diaphragmatique : 5 minutes par jour en conscience, allongé, main sur le ventre.

  • Utilisez des protocoles simples (4-7-8, cohérence cardiaque) avant les repas, après l’effort ou avant de dormir.


Conclusion : votre souffle transforme votre ventre, votre énergie et vos résultats

Vous pouvez suivre le meilleur programme d'entraînement, prendre les meilleurs compléments, avoir la nutrition parfaite si votre respiration est perturbée, une partie de votre potentiel reste bloquée.

Le souffle est un levier invisible mais fondamental.
Il régule votre digestion, votre énergie, votre système nerveux… et il s’entraîne.

Avec BREEV, vous disposez d’outils concrets pour transformer votre respiration, à l’effort comme au repos.

Chaque inspiration est une opportunité d’améliorer votre récupération, votre digestion, votre lucidité.
Ne la gaspillez pas.


Références principales :

  • Kim et al., Eur Arch Otorhinolaryngol, 2011

  • ERS, European Respiratory Journal, 1999

  • Frontiers in Neuroscience, 2022

  • NIH, 2022 — Impact of mouth taping on sleep quality

  • Breathing Academy – Livrets de formation internes (Sessions 1 à 7)

0 Commentaire

Laisser un commentaire

Veuillez noter que les commentaires doivent être approuvés avant d'être publiés.